M. ou Mme : _______________________ __________________Le __________________2018
Adresse : __________________________
Ville : _____________________________ Vos coordonnés sont naturellement facultatives Monsieur Emmanuel MACRON Président de la République Palais de l’Élysée 55 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Monsieur le Président, Je veux vous dire ma colère en découvrant la pension que j’ai perçue début 2018. Non seulement nos pensions sont bloquées depuis maintenant plus de 4 ans, mais s’ajoute à cela l’augmentation de 1,7 point de la Contribution sociale généralisée (CSG). Et vous nous annoncez une année blanche pour 2018. Dans le même temps les régimes complémentaires sont bloqués. Vous tentez d’opposer les jeunes, les salariés, les chômeurs aux retraités en nous traitant de nantis. Vous tentez d’opposer les retraités percevant moins de 1 200 € à tous les autres. Avec 1 300 € je serais un riche. Quelle honte ! Et, pourtant les « efforts », comme vous dites, les retraité.e.s ne cessent de les faire : Nous avons subi les 0,3% de la CASA, la suppression de la 1/2 part fiscale pour les personnes vivant seules ayant élevé au moins un enfant, la fiscalisation des majorations familiales, et, cerise sur le gâteau, la baisse annoncée de 5 euros des APL, les augmentations de prix au 1er janvier, les complémentaires santé, le gaz (+ 6,9 %), le forfait hospitalier qui passe à 20 €, les taxes sur le carburant… pendant que les personnes vraiment riches bénéficient de la baisse de l’ISF, de l’impôt sur les sociétés à 28 %, de l’impôt sur les revenus du capital. Avec cette augmentation de la CSG, je perds chaque année _______€ pour le régime général et ______€ pour ma retraite complémentaire. C’est autant de moins que je pourrai dépenser pour vivre dignement. Je veux que ma pension soit revalorisée de : _______€ par mois et indexée sur les salaires et non pas sur l’inflation, ce qui a conduit à accélérer le décrochage du pouvoir d’achat des retraités. Je refuse cette hausse de la CSG. Comme des millions de retraité.e.s, je dis, c’est assez. Avec d’autres personnes retraitées, Je fais parvenir cette lettre à la presse afin qu’elle prenne conscience de ma situation comme celle faite à de très nombreux retraités. Signature : ________________________
Ville : _____________________________ Vos coordonnés sont naturellement facultatives Monsieur Emmanuel MACRON Président de la République Palais de l’Élysée 55 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Monsieur le Président, Je veux vous dire ma colère en découvrant la pension que j’ai perçue début 2018. Non seulement nos pensions sont bloquées depuis maintenant plus de 4 ans, mais s’ajoute à cela l’augmentation de 1,7 point de la Contribution sociale généralisée (CSG). Et vous nous annoncez une année blanche pour 2018. Dans le même temps les régimes complémentaires sont bloqués. Vous tentez d’opposer les jeunes, les salariés, les chômeurs aux retraités en nous traitant de nantis. Vous tentez d’opposer les retraités percevant moins de 1 200 € à tous les autres. Avec 1 300 € je serais un riche. Quelle honte ! Et, pourtant les « efforts », comme vous dites, les retraité.e.s ne cessent de les faire : Nous avons subi les 0,3% de la CASA, la suppression de la 1/2 part fiscale pour les personnes vivant seules ayant élevé au moins un enfant, la fiscalisation des majorations familiales, et, cerise sur le gâteau, la baisse annoncée de 5 euros des APL, les augmentations de prix au 1er janvier, les complémentaires santé, le gaz (+ 6,9 %), le forfait hospitalier qui passe à 20 €, les taxes sur le carburant… pendant que les personnes vraiment riches bénéficient de la baisse de l’ISF, de l’impôt sur les sociétés à 28 %, de l’impôt sur les revenus du capital. Avec cette augmentation de la CSG, je perds chaque année _______€ pour le régime général et ______€ pour ma retraite complémentaire. C’est autant de moins que je pourrai dépenser pour vivre dignement. Je veux que ma pension soit revalorisée de : _______€ par mois et indexée sur les salaires et non pas sur l’inflation, ce qui a conduit à accélérer le décrochage du pouvoir d’achat des retraités. Je refuse cette hausse de la CSG. Comme des millions de retraité.e.s, je dis, c’est assez. Avec d’autres personnes retraitées, Je fais parvenir cette lettre à la presse afin qu’elle prenne conscience de ma situation comme celle faite à de très nombreux retraités. Signature : ________________________
Documents joints
Bienvenue sur le blog des retraités du SNES-FSU.
La vie militante ne s’arrête pas à la retraite ! Au contraire, les retraités du SNES-FSU participent activement aux mobilisations en cours (protection sociale, dépendance etc) et apportent leurs analyses à des dossiers intergénérationnels.
Contact enretraite@snes.edu
La vie militante ne s’arrête pas à la retraite ! Au contraire, les retraités du SNES-FSU participent activement aux mobilisations en cours (protection sociale, dépendance etc) et apportent leurs analyses à des dossiers intergénérationnels.
Contact enretraite@snes.edu